Archives pour la catégorie cuba

Cuba: Cuba pratique

Le 02 Septembre 2015

J’ai reçu plusieurs demandes de conseils ou renseignements sur Cuba ces derniers temps. Du coup je me suis dis que ça valait peut être le coup d’écrire un article la dessus. J’encourage ceux qui ont déjà visité ce fantastique pays à laisser des commentaires pour rajouter des éléments que vous estimeriez importants, ou pour me corriger si besoin est :-) .

Communication

En raison de la situation particulière de ce pays, la communication vers l’extérieur et l’utilisation d’internet, sont relativement compliqués et chères. Il existe toutefois des solutions meilleurs que d’autres. Je déconseillerais d’aller dans les hôtels afin d’utiliser leurs services téléphonique ou internet notamment, ils coutent un bras.

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La compagnie national de communication cubaine: ETECSA, dispose de centres dans chaque villes du pays, vous y verrez souvent les cubains y faire la queue. Toi, touriste de base :-D , tu n’auras pas besoin d’être dans la file, si tu cherches à acheter deux choses:

Une carte pour une connexion au wifi:

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Le tarif est variable selon la durée bien sur, mais les prix sont beaucoup plus intéressant qu’ailleurs ( l’hotel Habana libre par exemple, pour ne pas le citer :-( )… Je m’en suis voulu de ne pas avoir utilisé ce système dès le début de mon séjour. Le fonctionnement est relativement simple, on gratte pour avoir un code qui permet de se connecter à une borne, voila… ça marche plutôt bien. A noter, que dans la plupart des endroit ou j’allais, le fournisseur était ETECSA, donc j’étais en mesure d’utiliser cette carte.

Une carte pour téléphoner a Cuba ou à l’étranger

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Cette carte à un cout d’utilisation également ridiculement bas, par rapport aux hotels. On retrouve encore le système de grattage, il suffit ensuite de téléphoner au numéro fourni dans le dos de la carte, puis de taper le code, et c’est partie :-) .

A noter, que ces deux cartes, ne se trouve pas que dans les centres ETECSA, il y avait des « kiosques », dans la rue qui les proposaient, mais la seul fois ou j’ai acheté une carte dans un de ces kiosques, elle n’a jamais fonctionné :-( .

Autres grand avantage a utiliser ces deux cartes, si vous bougez dans l’ile, elles seront utilisables partout. Au contraire, si vous achetez un certain nombre  d’heure de communication dans un hôtel, souvent, vous ne pourrez pas utiliser ces dernières ailleurs.

Transport

Arrivée a l’aéroport

Arrivé a l’aéroport de la Havane, il n’y a pas le choix, il faut prendre un taxi. le soucis c’est que, si vous en choisissez un sur place pour vous rendre au centre ville, ce sera plus chère (30 à 40 CUC ou plus). Mon conseil: si vous logez dans une « casa particulares », demandez leurs avant de venir, s’ils ont des taxis dans leurs connaissances qui peuvent venir vous chercher, bien sur, demandez leurs combien ça couteras (Toujours demandez combien ça coutera avant! ). ça m’était revenu a 25 CUC a l’aller et 20 CUC au retour.

Les transports dans cuba

J’ai écrit un article sur ce sujet ici.

Logement

Je ne saurais que trop recommander le système des « casa particulares ». En gros, vous logez chez l’habitant, vous avez une chambre à vous, avec sanitaires dédiés, climatisation… Ce système semble relativement bien encadré, même si toutes les casas que j’ai fait n’étaient pas à mettre au même niveau, je n’ai vraiment jamais eu à me plaindre.

Les petits déjeuners fournies dans ces casas sont souvent très copieux.

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Certaines proposent parfois également de vous préparer le diner… la encore, le rapport qualité/prix était imbattable, en comparaison avec les restaurants aux alentour.

Les casas que je recommande

Santiago de Cuba

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Baracoa

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Trinidad

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 Argent

Il y a deux monnaies en cours a Cuba:

  • Le pesos convertible (CUC): 1 CUC est un peu prés équivalent a 1€, c’est la monnaie des étrangers, les cubains ne sont pas censé l’utiliser en théorie, mais bon…
  • La moneda national (CUP): Seul les cubains sont censé l’avoir entre les mains, 1 CUP vaut environt 24 CUC.

Tant que faire ce peu, avoir des CUP entre les mains, cela fait du bien au portefeuille. Les taxis non officiels, vous demanderont par exemple, 10 CUP pour une course dans la havane, mais si vous êtes repéré en tant qu’étranger, ça fera 3 CUC (non 0,41)…

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Levia & chichi-2

Afro cuban classes: Lesvia & Chichi

Cours pris à Santiago de Cuba en Février 2015

Avant mon départ, j’avais reçu pas mal de mise en garde de certains de mes amis, qui me disaient de faire attention avant de m’embarquer dans des cours à Cuba, qu’il y avait pas mal de bon professeurs, mais également un certain nombre de charlatan. J’ai donc choisie, une fois arrivé a Santiago de cuba, de plutôt me fier au bouche a oreille dans mon choix de professeur, sur place, on m’a recommandé: Lesvia & Chichi :-).

J’ai eu beaucoup de chance de les avoir trouvé :-) . J’ai pris la majeur partie de mes cours avec Lesvia et c’était vraiment bien. Elle a été très (très très très :-D ) dure avec moi, afin que je fasse les choses un près convenablement et elle était également très généreuse dans le partage de sa culture. elle ne regardait jamais l’heure.. on peut vraiment dire, que j’en avait pour mon argent à chaque fois. J’ai pris des cours particuliers pendant une dizaine de jours avec eux.

L’interview de mes professeurs que j’ai réalisé est disponible sur Youtube:

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Cuba: Santiago de Cuba

Bon nombre de voyageurs que j’ai rencontré durant mon séjour sur l’ile, m’ont dit que malheureusement ils ne pourraient se rendre à Santiago de Cuba. Je les comprends, il faut bien 14 heures de bus pour joindre la ville en partant de la Havane,  ça ne durera pas plus de 2h en avion, mais le tarif n’est naturellement pas le même.  Le seul conseil que jeux donner au futurs voyageurs, c’est d’y aller quand même, ça vaut carrément le coup.

Santiago  de Cuba est une ville extrêmement agréable, vraiment.  Déjà, ma Casa particulares était top, et Maria, mon hôtesse, était au petit soins avec moi. ça confirme encore tout le bien que je pensais de cette formule. C’est vraiment un bon moyen de connaitre les Cubains et de profiter de leurs précieux conseils. A mon arrivé, j’ai également eu la chance d’être accueilli par l’ami de mon amie de Marseille: Noel. Il s’agit, d’un pur Santiaguero et également francophone (parfaitement bilingue même).  Oui, le voyage a Cuba c’est pour parler espagnol, mais à ce stade de mon séjour, ça m’a fait du bien de reprendre un peu le français.. Je galèrais trop en espagnol.

Noel, m’a présenté le centre ville et les différents points d’intérêt, je me suis immédiatement plu dans cette endroit… La ville est beaucoup plus mixte que la Havane, les rues plus petites, le Centre très animés. Il y avait ce jour la, une sorte de représentation théâtral dans la rue: Deux femmes a demis nues, mais peintes de la tête au pieds, marchaient au ralentie. Je n’ai pas compris le concept, mais j’ai trouvé ça cool :-D . J’ai vue ou était situé: la « Casa de la cultura »,  la « Casa de la musica », le musé Baccardi… Il y a beaucoup de vie dans les rue de Santiago, c’est difficile a expliquer.. c’est comme Marseille, mais en plus propre… Le soir de mon premier tour dans la ville, il y avait un concert de Reggae organiser en l’honneur de Bob Marley… A ce moment, je me suis dis que j’étais vraiment au bon endroit au bon moment.

J’ai pu également prendre de bons  cours de danse à Santiago, il s’agissait des Danses Yoruba. J’ai pris presque tout mes cours avec Lesvia et quelques un également avec son mari « Chichi », deux très bons professeurs et également de très bonnes personnes. Lesvia est non seulement un excellent proffesseur, mais c’est également une des meilleurs danseuses que j’ai eu le plaisir de cotoyer… Elle n’est vraiment pas de ce monde. Je me suis régalé. Le cadre du cour était saisissant, c’était chez mes professeurs, sur une terrasse en hauteur, qui domine un partie de Santiago, j’avais souvent droit a une petite brise que me soulageais entre deux grands instant de soufrance :-D. Soufrance il y eu, par ce que Lesvia ne rigolait pas avec moi :-D . Elle m’a fait transpirer… mais j’ai vraiment appris de bonnes choses. On a travaillé: Arrara, Chango, Oghun, Palo, on a fini avec un peu de Rumba et columbia (je posterai bientot quelques videos et explications, en attendant, il y a wiki ;-) ).

J’ai eu le plaisir de sympathiser avec quelques personnes très intéressantes durant mon passage a Santiago de Cuba, outre mon hôtesse Maria et bien sur Lesvia, Chichi et Noel dont j’ai déjà parlé, il y avait également la famille et les amis de mes professeurs que je croisais tous les jours en allant prendre des cours chez eux, mais également un groupe de suédoises élèves de la fille de Lesvia a Stockholm, qui étaient de passage a Santiago, ils y avaient: Charlotte, Joséphine, Annicka, Anja et Maria. Je les ai malheureusement rencontré a la fin de mon séjour, mais on a eu le temps de bien rigoler.

Au bout de deux semaines, il quand même bien fallu que je parte. ça n’a pas été facile, je serais  bien rester un peu plus longtemps, pour fêter mon anniversaire dans cette ville, avec mes nouveaux amis, mais je savais que ça aurait été du coup, au dépends de d’autres villes de Cuba. La veille de mon départ, mes professeurs m’ont organisés une petite fête très réussie chez eux, On a vraiment passé un très bon moment ensemble, J’ai fait mes premiers aux revoirs du voyage :-( . Le lendemain, j’étais dans le bus pour Baracoa.

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Cuban car

Cuba: les transports

Le 04 Mars 2015

C’est l’un des gros soucis des cubains… La très grandes majorité, n’a pas les moyens de s’offrir une voiture, ils ont donc recours aux transports collectifs et c’est le casse tête. Il y a deux moyens de les aborder:

  • Vous savez précisément ou vous allez, vous n’êtes pas reconnaissable en tant que touriste et vous avez de la monnaie national (CUP): Payez a la fin de la course (ou au début dans le cas des bus) ,sans chercher à comprendre et soyez sur de vous.
  • Vous savez que vous allez payez en CUC: Demandez le tarif avant la course!

Conseil pour un voyage inter-urbain

Entre deux villes, outre le classique Autobus, ça vaut le coup de se renseigner auprès des « casa particulares », sur d’éventuels taxis privés, qui feraient le trajet. Si le Taxi trouvé est rempli, les prix reviennent au même qu’en bus, sauf que le taxi vous déposera ou vous voulez, pas à la gare. J’ai utilisé ce système, notamment pour le trajet: Vinalès- La Havane.

Les guaguas

Ce sont les autobus, je n’ai pas compris comment on pouvait déterminer leurs destinations, ni leurs fréquences. Ils sont souvent pleins à craquer et les cubains détestent les utiliser du coup, mais quand on a pas le choix…. Mieux vaut les prendre avec des cubains pour comprendre quelque chose, et pour payer en CUP.

Les camiones

Comme les guagua, sauf que ce sont des camions reconvertis en bus. Les cubains les aiment encore moins, mais je les ai toujours vue bondés…

Les taxis officiels:

voiture taxi classique, au couleur jaunes et noires, avec écrit taxi dessus. Ils ne sont pas forcément donné par rapport aux autres moyen de transport collectifs, je n’en ai pas abusé pendant mon voyage.

Les taxis non officiels

n’importe quels voitures que vous voyez dans la rue, ce sont souvent les belles américaines. A la Havane, ils ont cette particularité de faire l’allée-retour sur une même rue, si vous les prenez, vous devez donc bien savoir: où vous êtes et où vous voulez aller (oui bon, c’est bien de savoir cela tout le temps aussi :D ) ils sont à 10 CUP par courses en moyenne, ce qui n’est pas chère du tout.

Les mototaxis

Très fréquents à Santiago de Cuba, et très pratiques, car peu cher… Compter 1 CUC par course, si vous êtes un touriste. Il faut aimer un minimum le sensations fortes :-) .

Les bycitaxis

Pas besoin d’une photos n’est ce pas, il y en a un peu partout, j’en ai surtout pris à Baracoa.

Pietons

Pietons, prends garde à toi! Bon, il faut savoir, que les piétons ne sont pas du tout prioritaires dans ce pays, les voitures ne ralentissent pas quand vous êtes sur leurs chemins, elles klaxonnent et foncent… Maintenant, une fois qu’on le sait, on fait attention :).

 

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Cuba: bilan du voyage et réflexions personnelles

Je recommande vivement cuba. Cet endroit est une singularité dans le monde. En organisant un bloqueo (embargos), autour de l’île, les États Unis n’imaginait sans doute pas, que la situation en serait ou elle en est actuellement. Comme on dit chez moi: « debrouya pa péché », les cubains doivent bien connaître ce proverbe, ils arrivent depuis plusieurs décennies à pallier aux manques divers et variés, l’exemple le plus frappant est bien sur: les voitures, les belles américaines, mais ils vont a l’essentiel, du coup, n’espérez pas entendre de bip bip, si vous n’attachez pas votre ceinture de sécurité, d’ailleur, il n’y en a pas :D.

La nourriture de l’île est excellente, je recommande vivement de dîner chez l’habitant, si vous avez la chance de sympathiser avec certains, ou plus simplement si vous choisissez de loger des « casa particularés », n’hésitez pas à demander les petits déjeuners et également les dîners si elles les proposent, vous ne le regretterez pas.

La culture et l’histoire de Cuba sont également extrêmement intéressante, le niveau moyen des musiciens est tout simplement excellent, des petits groupes qui se produisent dans les restaurant, à ceux plus grand que l’ont retrouvera dans les concerts, il y a beaucoup de formation et la qualité est la. Toutes les villes on leurs « casa de la musica », donc spectacles de danses ou concert assurés, tout les soirs.

Concernant la situation politique de Cuba, J’ai pu avoir des discussions très intéressantes avec certain, tout en prenant soins de suive le conseil de mon père: « ne parle pas politique avec les gens pendant ton voyage » :D. Il a raison de me dire ça, de toute façon, je n’aime pas parler politique (avec tout le monde en tout cas), j’aime parler histoire, l’histoire, c’est à mon sens, une succession de fait qui a eu lieu dans passé, on peut, en restant sur ce chemin, espérer un minimum d’objectivité de part et d’autre, en se tenant aux faits passés et présents.
D’un côté, il y a des gens qui ont tout perdu après la révolution: leurs maisons, leurs argents, leurs terres.. C’est un fait, certain de leurs descendants vivent encore difficilement actuellement, ce qu’ils considèrent comme étant une injustice.
D’un autre côté, la révolution à: virée la mafia, abolie les inégalités existantes, ramenée l’illettrisme a un niveau proche de zéro, apporter un système de santé envié par beaucoup de pays. il est de notoriété publique que cuba exporte énormément de ses médecins dans le monde, neufs hôpitaux sont gérés entièrement par des cubains à port aux princes actuellement, ce, entièrement gratuitement. C’est quand même fou.
Toutefois, depuis la révolution, tous les salaires sont les mêmes, ceux des médecins sont à peines plus élevé que la moyennes (une quarantaine de cuc, contre une trentaine en moyenne). Cela ne peut favoriser: ni les compétences, ni la motivation au travail… De plus, vous aurez noté que ça ne fait pas beaucoup comme salaire, ce n’est pas suffisent pour vivre (1 CUC = 1,10€), les cubains doivent donc beaucoup se débrouiller pour joindre les deux bouts.

A l’heure où j’écris cette article, il est difficile de savoir si les relations de l’île avec les États Unis va évoluer, si c’est le cas , qu’amèneront ces changements? Je me garde d’émettre quelque souhaits que ce soit… En tant qu’étranger et même dans ma situation particulière de bagpacker, mon budget quotidien était quand même de 60 CUC… Soit, près de deux fois le salaire mensuel d’un Cubain. Forcément, j’ai pu apprécier beaucoup de choses, dont ne peuvent rêver les locaux actuellement.
On peut voir du positif et du négatif dans tout les changements. Il faut actuellement, au minimum 10000 CUC pour acheter une voiture sur l’île. c’est une somme qui annihile chez le Cubain moyen, toute véléhité d’achat. Qu’en sera t’il lorsque les salaires moyens seront telle, que cela deviendra envisageable? Une ville comme santiago pourra t’elle gèrer une multiplication par deux de son parc automobile, sans que naissent les difficultés que l’ont connais bien ailleurs: problèmes de circulation, de stationnement et de pollutions…

L’ont peut donc souhaiter, que dans ces évolutions à venir, cuba puisse s’ouvrir un peu plus, pour offrir à ces habitant la liberté don ils rêvent, tout en sachant garder ce qui fait ça force et la distingue des îles avoisinantes, à savoir: faible criminalité, système de santé et éducation au top… Je ne serait pas surpris qu’ils arrivent à trouver la formule secrète de cette équilibre Ils ont le sens de la débrouille dans ce pays…

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Vue sur le Malecon

Cuba: la Havane

Première impression sur la Havane.. C’est comme la Guadeloupe, en beaucoup plus grand, avec beaucoup plus de monde et ils parlent tous espagnol :-D . Blague à part, il y a beaucoup plus de différence que cela, ne serait ce qu’au niveau de l’architecture déjà, le style n’a rien a  voir et tout y est beaucoup plus grand et très coloré, des couleurs très vives… Malheureusement, la plupart des édifices tombent en ruine, c’est dommage, j’imagine comme tout cela devait être clinquant dans les années 50.

La population de la ville a l’air bien globalement… Je n’en sais rien ceci dit, mais bon, je peux compter sur les doigts d’une main les personnes qui ressemblent à des sdf, ça me surprends d’une ville de plus de trois millions d’habitants. Les couleurs des bâtiments, les fameuses « belles américaines », tout cela donnent à la ville, un certain cachet. Une petite parenthèse sur les voitures, et ce n’est pas valable que pour la Havane, globalement, elles sont en moins bonnes états que sur les photos quand même, l’intérieur sent vraiment le rafistolage, quand l’extérieur a un état plus ou moins passable… Mais elles roulent :-D .
Globalement, j’aime bien la Havane, j’aime bien m’y balader, mais c’est une capitale, une grande ville et elle a à mes yeux, les défauts des grandes villes: tout est très grands et les gens ne sont pas forcément super chaleureux, il ne s’agit là bien sur, que de ma modeste expérience et de mon humble avis.
Quand je dis que les gens ne sont pas super chaleureux dans cette ville, j’exclue bien sur mes hôtes, qui ont été d’une gentillesse et d’une disponibilité incroyable.
Voilà, au bout de trois jours, j’ai jugé que j’avais passé suffisamment de temps à la Havane et j’ai voulu bouger… Je savais que j’y reviendrais avant de quitter Cuba de toute façon. Direction Santiago de Cuba!

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