Archives pour la catégorie pratique

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Comment j’ai pu voyager pendant un an sans salaire?

J’en ai eu envie

J’avais vu des collègues partir dans ce genre d’aventures au préalable, et si cela me faisait doucement rêver, je me voyais mal faire de même, ce n’était pas une vie pour moi il me semblait  et puis, je n’imaginais pas avoir les fonds suffisants, à moins de gagner à la loterie. Seulement, une certaine semaine, ma vie a pris un tour different et l’envie est devenue irrepressible, je l’explique dans l’article ici.

Nous etions en Septembre et je venais de realiser que si  je commençais maintenant, je partais en Janvier de l’annee d’apres.

 J’ai réalisé que c’était possible

Je me suis rendu compte que c’était en fait possible,  le jour ou je me suis assis devant un tableau excel et que j’ai commencé a faire des calculs. Avant, je ne  cherchais pas à creuser la question,  mais cette fois la,  J’ai tout d’abord fait brièvement le tour de quelques blogs et j’ai rapidement touvé que les budgets pour un an autour du monde sans salaire, variaient beaucoup, les chiffres oscillaient entre 5000 et 40000 euros, selon que l’on souhaite un mode de voyage roots ou plutot confortable, et également selon les pays choisis… pour un style un peu plus mediant, la somme de 22000€ semblait convenir, ce avec tout les billets inclus. J’ai eu la ma premiere surprise… je pensais qu’il fallait beaucoup plus.

Une fois la somme définie, j’ai fait un point sur mes économies, ainsi que sur ce que je pouvais épargner mensuellement, apres quelques additions et soustractions, j’ai realisé dans un premier temps que cela me prendrait plus de deux ans pour reunir la somme necessaire… ouch… Mais je ne me suis pas découragé et apres avoir fait quelques hypothèses supplementaires: si je supprimais ceci et cela, si je renonçais à avoir une voiture… bref:  si je limitais un peu plus mes depenses mensuelles, combien pouvais je gagner? Et bien apres differentes coupes, j’obtenais une somme suffisante qui me permettait de partir dans moins d’un ans et demis! Nous etions en Septembre et je venais de realiser que si  je commençais maintenant, je partais en Janvier de l’annee d’apres. Je ne peux pas vous dire comment je me suis senti à ce moment.  Dans ma tête, à cet instant precis, c’était sur, j’allais partir, Je venais de définir un plan d’action pour y arriver.

J’ai suivi un plan d’action

Une fois ce plan d’action défini, sous la forme d’un échéancier donc, definissant ce que je pouvais dépenser et ce qui devait rester sur mon compte a la fin de chaque mois, je ne pouvais plus faire marche arrière! Il ne me restait plus qu’à le suivre ce plan. Concretement, une des actions qui m’a aidé à rester dans les rails, a été de limiter mon utilisation de la carte bancaire, pour ce faire, je faisais un retrait en èspèce chaque semaines de la somme nécessaire pour toutes mes dépenses quotidiennes, ensuite je ne devais plus utiliser la carte, mais le cash à ma disposition (c’est la bonne vieille méthode des enveloppes).

Au final, suivre ce regime à été beaucoup plus simple que cela n’en avait l’air… avoir un objectif, un but, motive et aide a tenir, en fait, je tirais même une certaine fierté a faire ces sacrifices, en effet, je ne ressentais pas la frustration due au renoncements dans ces moments, mais le plaisir du rapprochement vers mon but, induit par le fait que limiter mes dépenses,  permettait indirectement á mes economies d’augmenter et me rapprochait de mon départ.

Conclusion

Cette période d’apparent sacrifice qui a précédé mon voyage était en fait un ravissement et je ne dis pas cela avec le regard apostériori, ou peut être un petit peu :D. J’appréciais le chemin qui me menait vers mon objectif, la route et le but était clair, j’étais déterminé et surtout: je réalisais la chance que j’avais, d’avoir cet état d’esprit.

 

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Tokyo: Logements

Je m’en suis à nouveau remis à AirBNB pour trouver un logement dans la mégalopole ultime qu’est Tokyo :-) . J’ai trouvé pour mes premiers jours, un logement près du métro de Shimbashi, ce qui était le plus proche du coin des soirée salsa: Ropongi.  Ce premier logement était spécial… J’en rigole en écrivant ces lignes, mais la bas, je ne rigolais pas tous les jours :-D . C’était un logement à 14€ la nuit environ et vraiment, j’aurais du me méfier avec un prix aussi bas (oui, la moyenne est bien élevée dans ce pays). En fait, la propriétaire de l’appartement est masseuse professionnelle et dans son appartement donc, se trouvait plusieurs tables de massages, séparées par des rideaux, normal jusqu’ici, mais en fait, elle louait les tables de massages.  La vous me dites: « mais Didier, tu as du voir les photos et les commentaires non, sur Airbnb???? » :-D , oui, effectivement, une des photos, avec le recul… J’aurai du percuté…

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My room :-D

mais je m’étais vraiment représenté le truc de genre une table dans un coin de l’appartement,  je ne pensais pas qu’elle louerait en même temps 5 tables contiguës, séparées par des rideaux :-D … Pour ce qui est des commentaires dans Airbnb, et bien, il n’y en avait que deux, dont un en Japonais (google trad est nul pour le Japonais-Français), et l’autre pas vraiment négatif, mais pas très positif non plus en fait… Et je me rends compte également, que lorsqu’un lieu ne me plait pas, je ne laisse pas de commentaire négatifs, je ne laisse aucun commentaire en fait… Donc maintenant, je regarderai la date de création d’annonce, des logements qui ont peu de commentaire avant de signer :-) .

J’ai trouvé un autre logement, situé à 5 mn de la station Minowa (ligne Hybia).  Celui la était plutôt bien. Même si je dormais quand même littéralement sur le sol (non ce n’était pas un futon ),  je l’ai trouvé très pratique et j’y suis quasiment resté tout mon séjour a Tokyo. J’y retournerais volontiers (assurez vous quand même d’avoir vos propres draps si vous y allez).

En résumé donc, c’est galère le logement a Tokyo, parce qu’il n’est pas évident de trouver de « bon » logement pas chère, dans le centre et les quartiers sympa style: Roppongi, Shybuya ou shinjuku… On peut bien sur en trouver des plus éloignés, situé non loin d’une station de métro, mais il ne faut pas oublier trois choses: la première, c’est que le métro au Japon, offre des tarifs qui sont fonction de la distance parcouru, la seconde est qu’a minuit, le métro c’est fini :-D , donc pas top pour profiter de la vie nocturne et enfin, le taxi, n’est pas vraiment donné dans ce pays.

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Tokyo: La salsa

J’ai un sourire aux lèvres en repensant à mes soirées salsa à Tokyo :-) , c’est la magie de la salsa et de sa communauté. Je suis vraiment tombé sur des personnes très sympathiques dans cette ville.

Au niveau de la danse déjà, il y a des soirée quasiment tout les soirs, et comme en Corée, il existe des lieux entièrement dédiés a ma passion dans cette ville, mais la dimension n’est pas la même qu’à Séoul tout de même, il faut diviser l’espace et la population par deux au Japon en comparaison. Mais ça reste très bien, j’ai vraiment passé de très bonnes soirées :-). La plupart des clubs salsa, sont situé dans le quartier de Roppongi. En semaine, je me rendait à « club caribe » ou « el cafe latino« , le weekend, le rendez vous était souvent à pepe2.

Comme en Corée, j’ai été épaté par le niveau des danseuses, il n’y a rien à dire, même les débutantes ont une très bonne connexion, c’était très agréable…. Je dansais quasiment non stop et je me suis vraiment bien régalé. L’accueil de la communauté dans ce pays à été énorme, j’ai reçu plein de conseils et d’attentions, à l’heure de partir, encore une fois, j’ai eu le cœur gros.

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Corée du sud: 2015 année du style!

Séoul le 25 Septembre

Oh comme ce titre est ironique… oui, je vais encore me plaindre: Je suis parti pour faire du bagpacking, je n’ai pas emmené beaucoup de vêtements, je n’ai même pas un costume blablabla… :-D Mais franchement, je vis cette situation beaucoup plus difficilement  ici (lol) et ce pour plusieurs raisons:

Premièrement, les coréens sont supers stylés et c’est peu de le dire, j’ai souvent entendu dire, qu’en comparaison avec l’Europe,  la Corée du sud est l’équivalent de l’Italie. J’ai pu vérifié cela à certain niveau. En effet, les gens ici ne rigolent pas avec leurs apparences extérieure… C’est beau, ils sont vraiment au top du top, le petit pantalon serré et court, les mocassins, la petit chemise slim et la coupe de cheveu fashion, le chapeau à la Pharrel… ça calme :-D. Les femmes… oulala :-D , on dirait des petites poupées, habillées bien fashion, toutes plutôt taille slim, la petite démarche légèrement hautaine :-D… bref, c’est comme à la télévision.  Attention hein.. je ne dis pas que ce sont la mes critères de beauté, disons que ce sont clairement les profils que l’on retrouve dans les magasines.  Qu’on aime  ou pas, je pense qu’il faut saluer tout ce travail fait pour obtenir ces résultats sur l’apparence extérieure.

Ils ont pas mal d’outils a leur disposition pour cela, car c’est le paradis du shopping ici. J’ai vraiment trouvé plein de petits magasins avec des vêtements comme je les aime, à des prix que je qualifierais de très abordable… Si j’étais dans une autre situation, ou un poil inconscient, je ferais carnage… Car bon, dans chaque magasin, j’ai toujours cette petite voix qui me dit: « vas y Didier, rien qu’un pull, ou une chemise, ou un t shirt ou une veste… tu en a besoin, tu n’en a paaaas la, et c’est pas chère en plus, vas y mon gars… ça va faire la troisième fois que tu vas mettre le même t-shirt dans ce club en 2 semaines… arrête de te taper la honte! » :-D mdr

Bon, j’ai réussit a ne pas craquer pour l’instant, mais oui, pour le shopping, la Corée du sud, c’est très très sympa :-) … Mais cette année je dois plutôt méditer sur cette petite phrase d’une de mes chansons préféré:

I tought what i wanted, was something i needed [Lauryn Hill].

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Cuba: Cuba pratique

Le 02 Septembre 2015

J’ai reçu plusieurs demandes de conseils ou renseignements sur Cuba ces derniers temps. Du coup je me suis dis que ça valait peut être le coup d’écrire un article la dessus. J’encourage ceux qui ont déjà visité ce fantastique pays à laisser des commentaires pour rajouter des éléments que vous estimeriez importants, ou pour me corriger si besoin est :-) .

Communication

En raison de la situation particulière de ce pays, la communication vers l’extérieur et l’utilisation d’internet, sont relativement compliqués et chères. Il existe toutefois des solutions meilleurs que d’autres. Je déconseillerais d’aller dans les hôtels afin d’utiliser leurs services téléphonique ou internet notamment, ils coutent un bras.

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La compagnie national de communication cubaine: ETECSA, dispose de centres dans chaque villes du pays, vous y verrez souvent les cubains y faire la queue. Toi, touriste de base :-D , tu n’auras pas besoin d’être dans la file, si tu cherches à acheter deux choses:

Une carte pour une connexion au wifi:

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Le tarif est variable selon la durée bien sur, mais les prix sont beaucoup plus intéressant qu’ailleurs ( l’hotel Habana libre par exemple, pour ne pas le citer :-( )… Je m’en suis voulu de ne pas avoir utilisé ce système dès le début de mon séjour. Le fonctionnement est relativement simple, on gratte pour avoir un code qui permet de se connecter à une borne, voila… ça marche plutôt bien. A noter, que dans la plupart des endroit ou j’allais, le fournisseur était ETECSA, donc j’étais en mesure d’utiliser cette carte.

Une carte pour téléphoner a Cuba ou à l’étranger

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Cette carte à un cout d’utilisation également ridiculement bas, par rapport aux hotels. On retrouve encore le système de grattage, il suffit ensuite de téléphoner au numéro fourni dans le dos de la carte, puis de taper le code, et c’est partie :-) .

A noter, que ces deux cartes, ne se trouve pas que dans les centres ETECSA, il y avait des « kiosques », dans la rue qui les proposaient, mais la seul fois ou j’ai acheté une carte dans un de ces kiosques, elle n’a jamais fonctionné :-( .

Autres grand avantage a utiliser ces deux cartes, si vous bougez dans l’ile, elles seront utilisables partout. Au contraire, si vous achetez un certain nombre  d’heure de communication dans un hôtel, souvent, vous ne pourrez pas utiliser ces dernières ailleurs.

Transport

Arrivée a l’aéroport

Arrivé a l’aéroport de la Havane, il n’y a pas le choix, il faut prendre un taxi. le soucis c’est que, si vous en choisissez un sur place pour vous rendre au centre ville, ce sera plus chère (30 à 40 CUC ou plus). Mon conseil: si vous logez dans une « casa particulares », demandez leurs avant de venir, s’ils ont des taxis dans leurs connaissances qui peuvent venir vous chercher, bien sur, demandez leurs combien ça couteras (Toujours demandez combien ça coutera avant! ). ça m’était revenu a 25 CUC a l’aller et 20 CUC au retour.

Les transports dans cuba

J’ai écrit un article sur ce sujet ici.

Logement

Je ne saurais que trop recommander le système des « casa particulares ». En gros, vous logez chez l’habitant, vous avez une chambre à vous, avec sanitaires dédiés, climatisation… Ce système semble relativement bien encadré, même si toutes les casas que j’ai fait n’étaient pas à mettre au même niveau, je n’ai vraiment jamais eu à me plaindre.

Les petits déjeuners fournies dans ces casas sont souvent très copieux.

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Certaines proposent parfois également de vous préparer le diner… la encore, le rapport qualité/prix était imbattable, en comparaison avec les restaurants aux alentour.

Les casas que je recommande

Santiago de Cuba

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Baracoa

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Trinidad

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 Argent

Il y a deux monnaies en cours a Cuba:

  • Le pesos convertible (CUC): 1 CUC est un peu prés équivalent a 1€, c’est la monnaie des étrangers, les cubains ne sont pas censé l’utiliser en théorie, mais bon…
  • La moneda national (CUP): Seul les cubains sont censé l’avoir entre les mains, 1 CUP vaut environt 24 CUC.

Tant que faire ce peu, avoir des CUP entre les mains, cela fait du bien au portefeuille. Les taxis non officiels, vous demanderont par exemple, 10 CUP pour une course dans la havane, mais si vous êtes repéré en tant qu’étranger, ça fera 3 CUC (non 0,41)…

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Argentina: Quelques spécificités

Argentine du 01 Avril au 23 Mai

Le Blue dollar

Un des premiers conseils qu’on m’ait donné avant d’arrivé en Argentine, c’était de débarquer avec beaucoup de cash sur moi, € ou $. En effet, le pays ayant traversé (traversant toujours même) des crises financières relativement importantes, les taux de changes dans les bureaux officiels, ou ceux pratiqués avec la carte de retrait, sont très défavorables.. Bon, je ne sais pas si c’est lié au crises.. mais le résultat est la en tout cas. Un des moyens d’y remédier, c’est d’utiliser ce que les Argentins appellent, « le blue dollar« .

De quoi s’agit-il? cela consiste en fait, a changer la monnaie étrangère dans des officines plutôt « officieuses », qu’on trouve grace au bouches à oreilles, ou en étant alpaguer dans la rue, dans certain quartier. Le taux de change du coup, est carrément plus intéressant. En utilisant ma carte bancaire, j’avais 9 pesos argentins pour 1€, avec le blue dollar, j’avais 14 pesos argentin pour 1€.

Les taux de change varie dans le temps bien sur, il s’agit ici des valeurs au moment de mon passage en argentine, mais bon, ça vaudra quand même toujours le coup de chercher des blue dollars visiblement. Ils m’ont bien permis d’amélioré mon pouvoir d’achat.

Bon, petite parenthèse, ce système de change est clairement toléré, mais quand même légèrement underground… Quand j’allais dans le bureau qui m’avait été recommandé, j’avais l’impression d’être un agent secret :-D.

 

Le Che

Un petit peu d’histoire maintenant: vous ne le savez peut être pas, mais Che guevara, le révolutionnaire qui c’est principalement rendu célèbre pour ses faits d’armes a Cuba, était Argentin. Ce que j’ai appris durant mon voyage,  c’est que « Che », c’est un surnom que lui ont donné les cubains, due a une tendance qu’on les Argentins à remplacer certains mot par « CHE » lorsqu’ils parlent.  Et ils font ça souvent… Les lettres : « Y » et « LL » sont remplacé par CH… ça m’a pas mal déstabilisé au début, par exemple, au lieu de dire « Yoga », ils diront « CHoga »… Aya = Acha, Llavé = CHavé….

Dires qu’après mon passage a Cuba et au Mexique, je pensais m’en tirer mieux en espagnol :-D .  Ils remplacent également le mot « tu » par vos…. histoire de me compliquer un peu plus la vie :-D.

Dolce de leche

Contrairement à ce que j’ai connu, il n’y a pas énormément de patisserie/sucrerie au chocolat en Argentine.. Ce qui est populaire, c’est le « Dolce de leche ». Comme son nom l’indique, c’est un du lait sucré (pour simplifier), ça a la couleur du caramel et c’est très sucré :-D. Mais honnêtement, c’est pas mal. ça peut se consommer, avec une petite cuillère qu’on plonge dans un grand pot, comme du nutella, ou plus classiquement,  on les consomment via les Alfajores.

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Alfajores au Dolce de leche. Attention, ce n’est pas du chocolat!!

 

 

Bon, je suis un grand amateur de chocolat, donc je vous avoue que ce point particulier m’a particulièrement déstabilisé, mais je me suis adapté et je me suis fait a ce « lait sucré » ,le temps de mon passage chez les Albicestes… J’ai retrouvé mon chocolat avec plaisir a l’étape suivante.

Le maté: papass le maté

La, on est vraiment dans l’ustensile de base, qui permet de distingué l’Argentin dans lemonde.  quoique, c’est une caractéristiques qu’ils semblent partager avec leurs voisins immédiats (du Chilie en tout cas) . Bon, pour moi c’est du thé.. enfin, une herbe spécial: la « yerva maté », qui se boit en infusion. Elle se boit en infusion, via l’instrument suivant:

mate Contenant de yerva maté

La ou cela devient intéressant, c’est toute dimension sociale que l’on retrouve derriere. En effet, le maté se partage, il est tout a fait fréquent, lorsqu’on se retrouve en groupe, qu’il y ait un: un thermos et un petit pot contenant la « yerva maté ». On va ainsi, successivement se passer ce matériel, remplir le contenant d’eau chaude prise du thermos, boire via l’espèce de paille, jusqu’a ce qu’il n’y ai plus d’eau et faire passer a la personne suivante le maté et le thermos. Voila, si vous allez faire une soirée avec des Argentins, il y a de très fortes chances, que vous partagez vos miasmes, avec toutes les personnes présentes :-) .

 Empanadas y Medialunas

Pour finir, deux petites choses qui m’ont accompagnés durant mon séjours en Argentines :-) , les empanadas sont des espèce de paté fourré…. Bon, c’est hy^per réducteurs et je m’en veux presque de décrire ainsi ce met parfois si fin et qui m’a si rarement déçu… mais c’est quand même un peu ça (et c’est pas vraiment hyper fin non plus :-D ).empanadas Les empanadas peuvent être au poulet, à la viande, au fromage/Jambon…. Notez, mes amis français, que si vous les prenez avec du fromage comme ingrédient, il y aura beaucoup beaucoup beaucoup de fromage dedans.

 

Les medialunas sont des croissants sucré. il y a différentes recettes, certains peuvent être ecoeurant, mais la encore, j’ai rarement été déçu… Mon petit plaisir c’était d’en déguster un avec du café! hmmmm.

medialunas

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Cuban car

Cuba: les transports

Le 04 Mars 2015

C’est l’un des gros soucis des cubains… La très grandes majorité, n’a pas les moyens de s’offrir une voiture, ils ont donc recours aux transports collectifs et c’est le casse tête. Il y a deux moyens de les aborder:

  • Vous savez précisément ou vous allez, vous n’êtes pas reconnaissable en tant que touriste et vous avez de la monnaie national (CUP): Payez a la fin de la course (ou au début dans le cas des bus) ,sans chercher à comprendre et soyez sur de vous.
  • Vous savez que vous allez payez en CUC: Demandez le tarif avant la course!

Conseil pour un voyage inter-urbain

Entre deux villes, outre le classique Autobus, ça vaut le coup de se renseigner auprès des « casa particulares », sur d’éventuels taxis privés, qui feraient le trajet. Si le Taxi trouvé est rempli, les prix reviennent au même qu’en bus, sauf que le taxi vous déposera ou vous voulez, pas à la gare. J’ai utilisé ce système, notamment pour le trajet: Vinalès- La Havane.

Les guaguas

Ce sont les autobus, je n’ai pas compris comment on pouvait déterminer leurs destinations, ni leurs fréquences. Ils sont souvent pleins à craquer et les cubains détestent les utiliser du coup, mais quand on a pas le choix…. Mieux vaut les prendre avec des cubains pour comprendre quelque chose, et pour payer en CUP.

Les camiones

Comme les guagua, sauf que ce sont des camions reconvertis en bus. Les cubains les aiment encore moins, mais je les ai toujours vue bondés…

Les taxis officiels:

voiture taxi classique, au couleur jaunes et noires, avec écrit taxi dessus. Ils ne sont pas forcément donné par rapport aux autres moyen de transport collectifs, je n’en ai pas abusé pendant mon voyage.

Les taxis non officiels

n’importe quels voitures que vous voyez dans la rue, ce sont souvent les belles américaines. A la Havane, ils ont cette particularité de faire l’allée-retour sur une même rue, si vous les prenez, vous devez donc bien savoir: où vous êtes et où vous voulez aller (oui bon, c’est bien de savoir cela tout le temps aussi :D ) ils sont à 10 CUP par courses en moyenne, ce qui n’est pas chère du tout.

Les mototaxis

Très fréquents à Santiago de Cuba, et très pratiques, car peu cher… Compter 1 CUC par course, si vous êtes un touriste. Il faut aimer un minimum le sensations fortes :-) .

Les bycitaxis

Pas besoin d’une photos n’est ce pas, il y en a un peu partout, j’en ai surtout pris à Baracoa.

Pietons

Pietons, prends garde à toi! Bon, il faut savoir, que les piétons ne sont pas du tout prioritaires dans ce pays, les voitures ne ralentissent pas quand vous êtes sur leurs chemins, elles klaxonnent et foncent… Maintenant, une fois qu’on le sait, on fait attention :).

 

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